Aidés par Dounia, nous émettons un message de salutation à l’attention de l’Asmahan. Quelques minutes plus tard, nous recevons l’autorisation d’accoster l’immense navire au sein des multiples grappes de Naïn naïn. Nous fondons rapidement une petite délégation composée bien entendu du capitaine Bolaji, de Dounia, de Farouk, de Loubianka, de Vassili, de Suno ainsi qu’Idir.

Rapidement, les femmes sont séparées du reste du groupe. Après quelques mondanités, les hommes sont introduits finalement auprès de la princesse. Bolaji négocie habilement la protection d’Aïcha El Atrach qui nous l’accorde mais après une sorte de période probation. Loubianka et Dounia nous rejoignent après un certain temps, les humeurs altérées. D’un côté, la médiane est étonnamment joyeuse tandis que la khémide arbore une expression sombre.

Nous disposons donc d’un certain temps pour nous acclimater à l’équipage de l’Asmahan, leur mode de vie et leur valeur. Une période mise à profit par chacun de bien des façons.

Bolaji furète et tente de comprendre pourquoi les ressources énergétiques sont à ce point épargnées. Farouk et Vassili s’intéressent des près à l’armurerie et y découvrent une quantité impressionnante d’armes - comme si les locaux se préparaient à une guerre dont on ignore encore la nature.

L'atmosphère de la grappe est altérée par des drogues euphorisantes et récréatives tandis que la débauche de luxure confèrent un aspect irréel aux errements de l'équipage.